Here Comes Trouble
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Here Comes Trouble

Pour des histoires en folies, du feels, des dramas, beaucoup d'amour...Et de liberté.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 

 learning to love you (siel)

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Soren Jakobsen
Le rockeur mystérieux
Soren Jakobsen


Messages : 12
Date d'inscription : 01/05/2020

learning to love you (siel) Empty
MessageSujet: learning to love you (siel)   learning to love you (siel) EmptyJeu 9 Juil - 12:03


Cela fait des mois que vous vous voyez, assez régulièrement ; et tu n’as jamais été aussi léger, aussi heureux. Vous avez visité des musées à deux, le MoMa n’a plus aucun secret pour toi. Tu l’as entrainé plus d’une fois dans les magasins d’instruments, pour lui expliquer des choses sur la musique. C’est toujours très calme, très silencieux, mais aussi très plaisant. Vos sorties te laissent toujours avec un énorme sourire, le coeur qui bat un peu plus vite et des papillons dans le ventre. Tu te sens bien avec lui ; toujours aussi fasciné par sa beauté et son sourire, ses yeux d’un bleu incroyable, son aura angélique. Il est beau et il ne le sait pas, mais toi tu es juste admiratif à chaque fois que tu le vois.
Tu te surprends même à te sentir en sécurité, avec lui. Plus tu en apprends sur Ezechiel et plus ton sourire se fait grand. Ses gestes ne sont jamais brusques, jamais grands, jamais disproportionnés. Il ne lève jamais la voix. Des mois avec lui et tu te rends compte que tu n’as pas peur, plus peur. Il est si doux et si tendre, malgré son air triste parfois, malgré ses mains qui ne se lâchent que rarement, tu ne vois que sa douceur.

Ce soir, vous avez été boire un verre dans un endroit tranquille, pour parler sans hurler au dessus de la musique, juste profiter de la présence de l’autre. Tu as remis ton crop top blanc et ta jupe en daim, en oubliant ta veste à la maison (tu as vu qu’il allait faire beau ce soir).
Tout le long, tu ne peux pas t’empêcher de le regarder, le coude sur la table et ta tête contre ta main. Tu l’écoutes parler avec un léger sourire, les yeux incroyablement tendres. Il est toujours aussi beau, l’ange en face de toi.
Vous sortez, dans l’optique d’aller autre part, mais un orage commence juste au dessus de votre tête. La pluie qui s’abat est violente et en quelques minutes seulement, vous vous retrouvez trempés. Toi sans veste, le nez déjà rouge de froid, tu as éternué plusieurs fois. Vous avez couru vous mettre à l’abri sous la devanture d’un magasin mais il était déjà trop tard. Il te dit quelque chose et tu rigoles avant d’éternuer encore une fois ; c’est là qu’il te propose d’aller chez lui. Tu es surpris, parce que tu n’as jamais vu l’intérieur de son appartement. Tu l’as déjà raccompagné, plus d’une fois, mais tu n’es jamais rentré.
Tu finis par accepter à cause du froid et de ta curiosité. L'appartement est bien plus grand et mieux rangé que le tien. Son odeur est partout et tu souris un peu plus en la sentant t’entourer, tu te sens bien ici. “Merci pour la soirée, même si elle s’est terminée un peu trop rapidement.” tu lui offres un grand sourire. Tu n’as pas mis de rouge à lèvre aujourd’hui et vu le temps, c’était une très bonne chose. “Il fait meilleur ici que dehors…” malgré tes vêtements trempés et tes membres encore légèrement tremblant de froid, tu sens déjà la chaleur s’infiltrer sous ta peau, réchauffer ton âme.
Revenir en haut Aller en bas
Ezechiel Johnson
La douceur de l'artiste
Ezechiel Johnson


age : 36
Messages : 11
Date d'inscription : 01/05/2020

learning to love you (siel) Empty
MessageSujet: Re: learning to love you (siel)   learning to love you (siel) EmptyJeu 9 Juil - 13:59

Même si ta mémoire semble tangente depuis que tu le connais et que cela s’explique, tu n’y crois toujours pas.  Des mois que tu côtoies Soren ; des moi qu’il te rejoins, son éternel sourire aux lèvres sans jamais refuser. Il est à tes côtés, cet être brillant que tu ne pensais jamais pouvoir approcher de si près ; il est à tes côtés et ton bonheur est immense. Vous avez apprit à vous connaître, en presque huit mois. Plusieurs sorties, de nombreux sourires, des silences apaisants. Des années que tu ne t’es pas senti aussi apaisé, aussi bien en la présence de quelqu’un ; si d’une certaine façon, l’annulation de ses pouvoirs t’intrigue autant que la personne qui les possède, ce sont aussi les battements effreiner de ton cœur qui t’amène à te poser des questions.
Il est là, face à toi, terriblement bien habillé et il t’arrive parfois de ne pas entendre ce qu’il te dis, trop perdu dans la contemplation de son visage, dans la beauté presque parfaite de cet homme face à toi. Ou femme, si tu as bien compris, le principe de gender-fluid que tu ne connais pas, mais que tu apprendras avec plaisir pour Soren. Tu es un grand timide, peureux des autres et pourtant avec lui, tu te sens juste bien. Tu as connu d’autres personnes aussi, avec qui tu te sentais à l’aise ; mais ce n’était jamais à ce point. L’envie de sentir plus que l’effleurement de ses doigts lorsqu’il te tends ton café (ou les six, il commence à te connaître maintenant), l’envie de l’entendre rire tous les jours, de voir son sourire toujours plus large lorsqu’il te regarde.

Tu ne le sens que trop bien, ton cœur battre dans ta poitrine, mais si tu n’as pas peur de mettre des mots dessus, tu crains surtout qu’ils ne soient pas réciproques. C’est compliqué d’avoir en face de soi quelqu’un qui ne parle que très peu, une communication compliqué, comme tu avais pu vivre avec Abel. Pourtant… C’est différent. Tu le sens, tu l’entends, tu le vois bien. Cet homme est différent et d’une certaine façon, ça t’effraie d’autant plus. Pourquoi accepte-t-il vos sorties au musée, pourquoi t’emmène-t-il dans ses boutiques, t’offre-t-il un verre dans un bar ? Tu es heureux, terriblement, mais la peur de ne pas être à la hauteur est plus que présente. Sournoise, mauvaise, elle teinte souvent tes yeux d’une mélancolie certaine, resserre tes doigts contre ta paume lorsque vos mains s’effleurent un peu trop longtemps.
Malheureusement, vous n’avez pas le temps de sortir de cet endroit que l’orage s’abat sur vos têtes, la pluie qui tombe en trombe sans vous laisser le temps de vous abriter. En le voyant si peu vêtu, tu n’hésites pas un instant à enlever ta propre veste qui, si elle est déjà mouillée, l’abritera un peu plus. « Je n’ai pas de parapluie, mais ça devrait te protéger au moins un peu. » Sourire contrit alors que tu la lui tends, trop peu à l’aise pour la lui mettre directement, pas certain qu’il l’accepterait non plus. Sauf qu’il éternue, encore et tu as le cœur serré à l’idée qu’il tombe malade. Ce n’est pas quelque chose que tu as déjà fait, personne n’est jamais rentré chez toi, tes peintures présentent un peu partout même si beaucoup sont entreposées dans ta cave ; mais pour lui, pour la merveille qui illumine ton cœur depuis de nombreux mois déjà, tu te dis que tu le feras.

Tu es gêné, un peu, en le voyant observer ton intérieur, ta veste en jean autour de ses épaules (ton cœur qui s’emballe un peu plus). Même si tout est parfaitement en ordre, tu ne peux pas t’empêcher de remettre une tasse dans le bon angle, de retoucher à quelques petites choses, juste pour essayer de te calmer, un peu. « Un peu trop vite oui, mais merci à toi. » Tu rigoles un peu, le sourire aux lèvres alors que tu vois que le sien revient aussi, malgré ses légers tremblements, son nez rouge de froid. Tu le laisses un instant tout seul après un mot d’excuse, ton appartement de toute façon entièrement ouvert alors que tu te diriges vers ton armoire pour en tirer un pull et un pantalon avant de retourner vers lui. « Tu es trempé, tu devrais te changer… Enfin si tu veux, je ne sais pas s’ils seront à ta taille mais… En attendant que tes vêtements sèches, je n’aimerais pas que tu tombes malade. » Tu t’empêtres un peu dans tes paroles, le rouge qui te monte encore plus vite aux joues alors que tu lui tends les vêtements, gêné, le cœur battant. « Tu veux boire quelque chose ? Je peux nous faire un café histoire de nous réchauffer. Ils ne seront pas aussi bon que ceux que tu sers, mais ce sera toujours ça. » Et cela te permettra de reprendre un peu contenance, peut-être. Juste un peu.
Revenir en haut Aller en bas
Soren Jakobsen
Le rockeur mystérieux
Soren Jakobsen


Messages : 12
Date d'inscription : 01/05/2020

learning to love you (siel) Empty
MessageSujet: Re: learning to love you (siel)   learning to love you (siel) EmptyJeu 9 Juil - 16:17

Il te donne sa veste et tu le regardes, un peu surpris. Il est tellement adorable, tellement serviable. Tu serres la veste contre toi après l’avoir posé sur tes épaules, avec un grand sourire en le remerciant. Elle sent comme lui alors plus ou moins discrètement, tu enfouis ton nez contre le jean pour mieux en profiter. Tu te sens en sécurité, sa veste sur tes épaules nues, l’ange à tes côtés, vous deux sous la pluie. Malgré la soirée que vous ne pourrez pas passer dehors, tu n’es pas déçu. Tu vas voir son appartement, tu vas pouvoir observer l’intérieur de sa presque-maison, c’est presque mieux que de visiter l’intérieur de son esprit. Tu espères, secrètement, pouvoir observer les tableaux qu’il peint. Tu vois toujours les traces de peinture sur ses doigts sans jamais pouvoir observer la moindre oeuvre et tu en meurs d’envie depuis que tu as compris que ton ange gardien était un artiste.
Ton coeur bat bien trop vite et tu te surprends à te dire que tu ne veux pas qu’il se calme. Tu veux que les papillons continuent de voler dans ton ventre, ressentir des choses incroyables pour lui, pour Ezechiel. Son âme est si douce et tu es terriblement attiré par sa tendresse, son calme qui te fait du bien. Tu es amoureux. Tu le sais déjà, tu sais pourquoi ton coeur bat trop vite, pourquoi tu te sens rougir en voyant son regard te suivre, pourquoi tu te sens mieux quand il n’est pas loin : tu es amoureux. Mais tu y vas doucement, petit pas par petit pas ; vous avez tous les deux des peurs et des doutes.
Tu as appris pour son pouvoir et malgré le soulagement du tien, du fait que tu annules ses capacités, vos contacts physiques sont rares et précieux. Le matin, quand tu lui tends ton café (et tous ceux qui suivent), quand tu te rapproches un peu dans un bar pour pouvoir l’entendre et que tu frôles son épaule. Sa peau est chaude et accueillante mais il a peur et tu comprends, alors tu y vas tout doucement. Tu ne peux pas mentir, tu as peur toi aussi. Peur qu’un contact que tu pensais doux finisse par te détruire, encore une fois. Ton poignet est toujours fragile, ton corps marque un peu trop facilement. Tu as peur mais tu as aussi envie de sentir sa peau contre la tienne ; de sentir sa tendresse envahir ton coeur, sentir son sourire contre sa peau.

Tout est ouvert dans son appartement et tu peux tout voir, tout observer. C’est tellement… Ezechiel. Ce n’est pas grand, mais tu peux le sentir et le voir partout. C’est simple mais beau, rien de trop moderne ou trop vieux. Tout est clairement mieux aménagé qu’à ton sordide appartement.
Il t’offre des vêtements, l’air particulièrement gêné, toi tu es juste encore plus attendri. Il ne veut pas que tu tombes malade. Il est beaucoup trop adorable pour ce monde. “Tu peux nous faire un café, avec plaisir.” tu lui souris, joyeux. D’habitude c’est toi, à ton boulot, qui lui fait un café. Tu prends le temps de dessiner des choses différentes à chaque fois dans la mousse, en espérant le faire sourire.
Tu vas te changer dans la salle de bain et reviens rapidement, tu as bien plus chaud. Les vêtements sont légèrement trop grands, tu flottes dans son pull ; mais tu te sens tellement bien, encore une fois entouré de son odeur et de sa présence. “Merci pour les vêtements, j’en avais besoin je pense, j’ai enfin chaud !” tu rigoles doucement avant de t’installer avec lui à table, te réchauffer autour du café. “Finalement, ce n’est pas du tout une mauvaise soirée qu’on va passer, je le sens bien.” et tu lui offres un petit sourire secret, le genre que tu n’offres qu’à lui, le coeur gonflé d’un amour que tu caches pas du tout et d’une tendresse que tu as envie de partager avec lui.
Revenir en haut Aller en bas
Ezechiel Johnson
La douceur de l'artiste
Ezechiel Johnson


age : 36
Messages : 11
Date d'inscription : 01/05/2020

learning to love you (siel) Empty
MessageSujet: Re: learning to love you (siel)   learning to love you (siel) EmptyJeu 9 Juil - 16:59

Ton cœur bat trop vote dans ta poitrine et tu te surprends et l’apprécier, d’une certaine façon. Ta veste sur ses épaules, son sourire resplendissant ; tu vois même son nez s’enfouir dans le jean de ton vêtement et si tu ne dis rien, tu sens ton palpitant se gonfler d’un certain plaisir, d’une fierté étrange que de le voir faire. Appréciable. Il est adorable, bien trop par rapport à toutes les personnes que tu as pu rencontrer avec lui. C’est étrange, un peu, de rencontrer quelqu’un comme lui, qui ne te force pas, ne te brusque pas, jamais. Qui comprend ton appréhension et l’accepte, peu importe la raison. Si les autres pouvaient être doux, tes craintes étaient souvent prises de travers, vexantes pour eux, ou alors ils ne les comprenaient pas, ne le souhaitaient pas peut-être. T’écrasais, à leur façon et tu te laissais faire, comme toujours. Avec Soren, ce n’est pas le cas. Jamais. Il est juste terriblement compréhensif, patient, attentionné et tu te prends à espérer, un peu plus, de voir vos doigts se frôler un peu plus longtemps, juste assez pour que tu surmontes ta crainte et réussir à les prendre entres tes mains, un instant.
Vous êtes rentrés, trempés et le sourire aux lèvres. Si tu pensais la soirée raccourcie, peut-être même ratée, tu sens au fond de toi qu’il n’en est rien. Parce qu’il est là, chez toi alors que jamais tu n’as fait rentrer quiconque dans ton appartement. Parce qu’il est là, ta veste sur ses épaules et un sourire incroyable sur ses lippes, même si elles ne sont pas maquillées aujourd’hui. A vrai dire, tu remarques un peu mieux la forme de ses lèvres, le léger cœur qu’elles forment, ton palpitant qui s’emballe un peu plus tandis que le rouge est toujours présent sur tes joues.

Tu profites qu’il aille se changer pour vérifier que rien ne traine (et ce n’est pas le cas, sans surprise). Il y avait cette peinture que tu avais laissé séché, un simple tableau du ciel étoilé comme tu aimais les regarder à chaque insomnie, bien trop souvent. Tous les portraits sont en bas, bien loin de son regard et de ton regard avis critique. Cachés. Tu ne peux pas t’empêcher de tourner ta toile contre le mur, presque invisible, en espérant qu’il ne la verra pas. Lorsqu’il sort de la salle-de-bain, tu as tout juste eu le temps de changer de haut et finir vos deux cafés que tu as déposé dans des tasses, les mêmes, grises et simples. Tu restes un instant muet face à lui, le voir porter ton pull un peu trop large et tes vêtements t’hypnotisent un instant. Te fascine. Encore une fois, ce n’est pas quelque chose que tu as partagé avec quiconque, geste bien intime pour toi qui n’a jamais rien connu. Le rouge te monte de nouveau brusquement aux joues en remarquant que tu es ainsi muet, à le regarder de la sorte. « Excuse-moi, ça ne doit peut-être pas être à ton goût… Enfin je veux dire, ça te va très bien, mais… ton haut t'allait si bien. Je… Excuse-moi, je suis content de voir qu’au moins tu n’as plus froid. »
Tu passes une main dans tes cheveux, cherchant à faire partir un peu la gêne alors que tu essaies de regarder ailleurs, ne pas l’observer (tu rates, encore). Il te sourit, en plus, ce sourire léger et discret : unique. Ton cœur s’emballe un peu plus en le voyant faire, les papillons toujours plus nombreux dans ton ventre alors que tes yeux brillent, le sourire qui ne lâche pas tes lippes alors que tu lâches un léger rire. Il est beau, terriblement beau. Et tu es totalement amoureux. Tu le sais, depuis un moment déjà, sentiment étrange et doux à la fois, secret, surtout. Tu le sais et tu as peur, comme souvent, comme toujours. Là, en le voyant, c’est pourtant la seule idée que tu arrives à avoir en tête, incapable de t’en défaire malgré tes mains toujours entrelacées, malgré vos corps loin de l’autre.

Tu te sens froid, tout d’un coup, et tu te souviens des cafés que tu avais préparé. Tu récupères les tasses et lui en tends une, le sourire toujours tendre, incapable de t’en défaire ; que tu n’avais jamais offert à quiconque avant, pas de cette façon. « Avec un café, ça ne peut qu’être une bonne soirée. » En sa présence, surtout, mais tu ne le diras pas à voix haute ; pas cette fois, comme lors de votre seconde rencontre où tes paroles avaient passées la barrière de tes lèvres sans que tu ne puisses t’en empêcher. Tu avais ouvert la fenêtre de ton balcon et un léger coup de vent te fait lever la tête, après que tu ais goûter à ta boisson. La pluie semble s’être calmé et par-dessus tout, un sourire tendre aux lèvres, tu vois la lune et les milliards d’étoiles qui l’entourent, cette vision qui t’as tant de fois accompagnées dans tes insomnies, que tu adores malgré les soirées sans fin que tu as passé avec elles. « Tu veux venir ? Tu ne seras pas mouillé, si jamais. » Tu rigoles un peu avant d’y aller en premier, te diriger vers le balcon malgré tes pieds nus. Il est protégé de la pluie de toute façon et même s’il continue de légèrement pleuvoir, vous resterez sec cette fois-ci. La tasse entre tes doigts, la chaleur qui s’infiltrent dans ta gorge à chaque fois, tu te sens terriblement bien, à l’aise face à ce tableau parfait. « J’ai toujours adoré regarder le ciel… » que tu avoues dans un souffle, un peu perdu dans tes pensées, admiratif.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





learning to love you (siel) Empty
MessageSujet: Re: learning to love you (siel)   learning to love you (siel) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
learning to love you (siel)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» l'art de se rencontrer (siel)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Here Comes Trouble :: ... DE NOMBREUSES HISTOIRES... :: rps terminés siel-
Sauter vers: